En
contrebas, un mur au milieu de la pelouse. Pas en ruine, intact, frangé d’une
grille. Comme éjecté d’une construction invisible.
Il est
aimanté. La pelouse s’incurve pour le laisser passer. Il contourne le mur. A
l’arrière, une puissante tête de Neptune avec sa main aux chairs écumantes et
au triton brandi le surplombe. Elle se détache morbide sur la clareté bleuâtre
du ciel en un cri silencieux.
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